Les protections hygiéniques représentent 0,5% de l’ensemble de nos déchets.
Ça semble peu ? Regardons d’un peu plus près…
Une importante source de déchets :
Une femme utilise au cours de sa vie entre 10 000 et 15 000 protections hygiéniques, soit plus de 150kg de déchets, qui incluent les serviettes, tampons, applicateurs…
Extrêmement polluantes :
Il leur faudra plus de 500 ans pour se dégrader (autant qu’une bouteille en plastique) et elles ne sont pas recyclables.
Leur composition est aussi douteuse que mystérieuse, les fabricants n’étant pas obligés de mentionner les ingrédients contenus dans les protections (seul le taux d’absorption doit figurer sur l’emballage).
« Les procédés de fabrication des protections périodiques jetables sont très polluants et utilisent des produits chimiques (plastiques, résines, liants, fabrication de fibres synthétiques comme la rayonne, blanchiment, stérilisation etc.). L’ONGE Greenpeace affirme que cette industrie est l’une des plus polluantes du monde. L’argumentation hygiéniste conduit à une surenchère d’emballage (plastique individuel, boîte, applicateurs en carton ou en plastique, etc…). La gestion de ces déchets, majoritairement non dégradables, est problématique. Les protections périodiques jetables sont le plus souvent incinérées mais aussi enfouies sur des sites de déchets. Ces protections requièrent 500 ans pour se dégrader et sont une source de prolifération microbienne. Les tampons et des applicateurs sont jetés dans les toilettes. Ils se retrouvent dans les océans et posent de nombreux problèmes aux poissons et aux mammifères aquatiques. »
(Citation : wikipédia)
Très coûteuses sur le long terme:
Une femme en consomme pour plus de 2 400€ dans sa vie d’utilisatrice.
Quelles sont les alternatives ?
Si certaines sont bien connues, d’autres sont plus surprenantes :
Réalisation et photo Chouette Julotte – couture écolo
© 2018 - Zero Waste Pays d'Auray - WordPress theme by Dameer DJ.